"a tout moment la rue"

Publié le par o°aurele°o

nouveau morceau de nos p'tits poilus, leur nouvel album sort debut octobre...on a hate!!!!!!!!!!!!

avec le retour de nico a la batterie et l'arrivée de l'ex DOLLY l'excellentissime nicolas bonniere

en attendant cette sortie et leur prochaine tournée vous pouvez ecouter le nouveau titre en exclu sur leur page myspace : www.myspace.com/eiffeltandoori  
vous avez ecouté les choeurs???

vive nos p'tits poilus qui reviennent en force et vive EIFFEL!!!!!!!!!!!

en exclu : la date de leur concert au bataclan : le 18 novembre 2009!!!!!!!!!!!!

yeahhhh

A tout moment la rue

A chacun de nos souffles, au moindre murmure des bas-fonds
C'est dans l'air comme un chant qui s'étrangle
Que nos pavés de fortune contre le tintamarre du pognon
A tout moment la rue peut aussi dire « non »
A tout moment la rue peut aussi dire « non »

C'est un pincement de lèvres et la peur qui perle d'un front
La faune et la flore à cran, en haillons
Et l'éclat de nos palpitants dans l'ombre du marteau-pilon
A tout moment la rue peut aussi dire « non »
A tout moment la rue peut aussi dire « non »

« Non » comme un « oui »
Au arbres chevelus
A tout ce qui nous lie quand la nuit remue
Aux astres et aux déesses qui peuplent nos rêves
Et quand le peuple crève
A tout moment la rue peut aussi dire...

Et si quelques points noirs en cols blancs poivrent nos yeux
D'ondes occulte en tube dans les creux
A bien compter le monde est X fois plus nombreux
Que ces 300 familles qui sur la rue ont pignon
A tout moment la haine peut aussi dire...

« Non » comme un « oui »
Aux arbres chevelus
A tout ce qui nous lie quand la nuit remue
Aux astres et aux déesses qui peuplent nos rêves
Quand le peuple rêve il aime...
Disposer de lui-même
Disposer de lui-même

Non...
« Non » comme un « oui »
Aux arbres chevelus
A toutes ces nuits qui nous lient et même s'ils ont trop bu
C'est aux astres et aux déesses qui peuplent nos rêves
Quand le peuple crève
A tout moment la rue peut aussi dire...

A chacun de nos souffles, au moindre murmure des bas-fonds
C'est dans l'air comme un chant qui s'étrangle
Que nos pavés de fortune contre le tintamarre du pognon
A tout moment la rue peut aussi dire « non » ad lib


Publié dans decouvertes

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Y
<br /> A moi aussi il me tarde, comme il m'a rarement tardé.<br /> <br /> <br />
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A
Ah ouais, on a hâte !!
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Z
Vraiment génial, je les trouvais nulle part!! (j'en prépare une reprise perso! une bise tiens!)
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J
raaah, merci beaucoup...Ils sont enfin de retour, avec notre Bertrand Cantat. Que du bonheur. Il me tarde déjà de les voir sur bordeaux. Les places sont en poche, il n'y a plus qu'a attendre. Avec dans un coin de ma tête, un espoir de voir l'apparition de Bertrand, même si je sais que c'est quasi impossible. Mais on a le droit aux rêves. Vive la ville de bordeaux, berceau du rock francais. Et n'hesite pas a venir discuter "rock'n'roll", ce sera avec plaisir. Ju"Il n'y aura pas de mai, avril pourra remettre ça"
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P
Bonjour, il me semble avoir décelé quelques erreurs dans la transcription des paroles, ne serait-ce pas plutôt :Et si quelques points noirs en cols blancs poivrent nos cieuxD'ondes occulte en tube longs et creuxA bien compter le monde est X fois plus nombreuxQue ces 300 familles qui sur la rue ont pignonA tout moment elle peut aussi dire...J'interprete ça comme une allusion à la recrudescence d'antennes relais sur les toits des bâtiments, et au fait qu'effectivement les habitants peuvent s'y opposer...ou alors j'ai loupé le sens de la chanson..puis A toutes ces nuits qui nous lient et même si elles ont trop bu (ne change pas le sens)j'ai bon?
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